1 Je vois un autre signe au ciel, grand, merveilleux: des messagers, sept, avec des plaies, sept, les dernières, parce qu’en elles elle s’achève, l’écume d’Elohîms.
2 Je vois comme une mer de cristal mêlée de feu, les vainqueurs de la bête et de son image et du chiffre de son nom, debout sur la mer de cristal; ils ont les cithares d’Elohîms. 3 Ils chantent le poème de Moshè, serviteur d’Elohîms, et le poème de l’agneau, pour dire: « Grandes, merveilleuses, tes oeuvres, IHVH-Adonaï Elohîms Sebaot. Tes routes sont justes et véridiques, roi des nations. 4 Qui ne frémit de toi, IHVH-Adonaï, et ne glorifie ton nom ? Parce que toi seul, sacré, tous les goïm viennent et se prosternent en face de toi; tes oeuvres de justice sont manifestes. »
5 Après cela, je vois: le sanctuaire de la tente du témoignage est ouvert au ciel. 6 Les sept messagers en sortent, ceux qui avaient les sept plaies, hors du sanctuaire, vêtus de lin pur, resplendissant, et ceints, à la poitrine, de ceintures d’or.
7 Un des quatre Vivants donne aux sept messagers sept coupes d’or, pleines de l’écume d’Elohîms, le Vivant, pour les pérennités de pérennités. 8 Le sanctuaire est rempli par la fumée de la gloire d’Elohîms, par son dynamisme. Personne ne peut entrer dans le sanctuaire que ne soient terminées les plaies des sept messagers.
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Nulle part ici je n'affirme ou ne fais dire à Paul que les Gentils qui gardent la Torah remplacent les Juifs : j...» dans Être juif, c'est quoi ?