New-York et Londres sont décidément deux villes férues de culture religieuse "orientée", toute laïcité gardée, bien sûr ! Allons donc ! Vous n'allez quand même pas suspecter des villes de cette stature de foi religieuse !
Officiellement pour célébrer la reprise par l'armée syrienne de la ville de Palmyre des mains des terroristes - alors même que ni Londres ni New-York n'ont salué cette victoire, chacune à partir du 19 avril 2016 accueillera une reproduction grandeur nature de l'arche du temple de Baal. L'exposition de ce haut symbole de paganisme qui nous remémore le bon vieux temps des sacrifices rituels d'enfants et des bonnes orgies sataniques a toutes les chances de plaire aux londoniens et aux new-yorkais qui ont sans doute déjà apprécié les subtils messages émis régulièrement par les disciples du satanisme moderne... Ces informations relayées et publiées entre autres par le New York Post, le Guardian ou encore le site de la BBC laissent perplexe, le journal américain allant jusqu'à affirmer que l'Institut d'Archéologie Numérique (IDA) a le projet de construire (et d'exposer) environ 1000 répliques de l'arche du temple de Baal à travers le monde...
[ update 25 avril 2016 ]
Finalement New-York accueillera non pas l'arche du temple de Baal mais l'arc de Triomphe de Palmyre aussi connu sous le nom de Arc Monumental de Palmyre qui comme son nom l'indique est bien plus imposant que l'arche initiale et ressemble effectivement encore plus à un vrai temple....
Le temple de Baal à Palmyre
L'arc monumental de Palmyre
Statue de Satan dévoilée et vénérée en Oklahoma en 2014
Les sociétés sataniques américaines n'ont plus de scrupules et se dévoilent en plein jour ! Mais ami lecteur, expliquez-moi donc quelque chose : quel est l'intérêt de vénérer Satan puisque Dieu n'existe pas et que d'ailleurs aucun dieu n'existe dans cet univers ?.... Ce seraient alors des bigots... de Satan ?
Londres aimait déjà ça en 2012...
Pandemonium, ou Pandémonium en français, désigne la capitale imaginaire des Enfers où Satan invoque le conseil des démons. Depuis, ce mot est également utilisé pour désigner un lieu où règnent corruption, chaos et décadence.
Lorsque l'on sait la signification du mot "pandémonium", on peut se demander ce qui a bien pu conduire les Londoniens à intituler ainsi l'un des tableaux de l'ouverture des Jeux Olympiques d'été de 2012. Ce deuxième tableau était censé représenter les ouvriers, mineurs et capitalistes en costume et chapeau haut de forme et symboliser la Révolution industrielle avec des cheminées sortant de terre. Pas étonnant dès lors que ce soit le groupe Underworld qui fut chargé de la direction musicale... Cà ne s'invente pas !
2015 - New-York n'est pas en reste !
Mi-2015 les artistes new-yorkais ont prouvé également leur attirance morbide pour les choses funestes en projetant sur l'Empire State Building des images de Kali, la déesse du temps et du changement et de la destruction :
Vous avez noté le signe cornu satanique de la chanteuse ? Je sais, je sais... Dieu n'existe pas, le diable non plus, Bilderberg pas plus, mais avouez que c'est étonnant quand même cette drôle de manie qu'ont de nos jours les dirigeants et les artistes modernes de vouloir mettre en scène à tout prix des dieux et des démons qui n'existent pas ! Après tout, c'est peut-être juste de la nostalgie de l'ancien temps, non ? Qu'en pensez-vous ?....
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