1 Poème des montées. Ils m’ont fort opprimé dès ma jeunesse, qu’Israël le dise donc ! 2 Ils m’ont fort opprimé dès ma jeunesse; mais ils n’ont rien pu contre moi ! 3 Sur mon dos, les laboureurs ont labouré; ils y ont prolongé leurs sillons.
4 IHVH-Adonaï le juste a rompu les entraves des criminels. 5 Ils blêmissent, ils reculent en arrière, tous les haineux de Siôn.
6 Ils sont comme le pâturin des toits, sec avant d’être fauché. 7 Il n’en remplit pas sa paume, le moissonneur, ni son giron, le gerbeur. 8 Les passants ne disent pas: « À vous, la bénédiction de IHVH-Adonaï ! Nous vous bénissons au nom de IHVH-Adonaï ! »
«Bonjour, tourmenté pour moi ne veut pas dire "cramé". Dans Lazare et le mauvais riche, le riche dit "Père Abraham, aie p...» dans L'homme, l'enfer et les tourments
«Salut,
Nulle part ici je n'affirme ou ne fais dire à Paul que les Gentils qui gardent la Torah remplacent les Juifs : j...» dans Être juif, c'est quoi ?