1 Mon souffle abîmé, mes jours éteints, à moi les sépultures ! 2 N’est-ce pas, les sarcasmes avec moi ? Mon oeil nuite dans leurs amertumes. 3 Mets-le donc et garantis-moi toi-même: qui d’autre me topera la main ? 4 Oui, tu as fermé leur coeur à la perspicacité. Aussi, que nul ne se lève ! 5 Il annonce: « Au partage, compagnons: » Mais les yeux de ses fils sont épuisés. 6 Il m’expose en fable aux peuples; je suis un crachat sur une face. 7 Mon oeil se ternit d’exaspération; mes membres sont tous comme une ombre. 8 Les êtres équitables se désolent de cela; l’innocent contre l’hypocrisie s’éveille. 9 Le juste étreint sa route; le pur-des-mains persévère dans la fermeté.
10 Pourtant, tous, retournez, venez donc ! Mais je ne trouve pas parmi vous de sage. 11 Mes jours, mes initiatives: passés ! Les héritages de mon coeur sont tranchés ! 12 Ils prennent la nuit pour le jour « La lumière est proche ! » face à la ténèbre ! 13 Si j’espère, le Shéol est ma maison; dans la ténèbre, j’étends mon matelas ! 14 Je crie à la fosse: « Toi, mon père ! »; « Ma mère ! Ma soeur ! » à la putréfaction. 15 Où donc est mon espoir ? Mon espoir, qui l’aperçoit ? 16 Aux mains du Shéol il descendra, quand, ensemble, nous reposerons dans la poussière.
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«Salut,
Nulle part ici je n'affirme ou ne fais dire à Paul que les Gentils qui gardent la Torah remplacent les Juifs : j...» dans Être juif, c'est quoi ?