1 Poème des montées. Vers toi je lève mes yeux, habitants des ciels.
2 Voici, comme les yeux des serviteurs sur la main de leurs maîtres, comme les yeux de la servante sur la main de sa dame, ainsi nos yeux se lèvent vers IHVH-Adonaï, notre Elohîms, jusqu’à ce qu’il nous gracie.
3 Gracie-nous, IHVH-Adonaï, gracie-nous ! Oui, nous sommes rassasiés de trop de mépris ! 4 Notre être est trop rassasié du sarcasme des repus, du mépris des superbes !
«Bonjour, tourmenté pour moi ne veut pas dire "cramé". Dans Lazare et le mauvais riche, le riche dit "Père Abraham, aie p...» dans L'homme, l'enfer et les tourments
«Salut,
Nulle part ici je n'affirme ou ne fais dire à Paul que les Gentils qui gardent la Torah remplacent les Juifs : j...» dans Être juif, c'est quoi ?