1 Poème des montées. De David. IHVH-Adonaï, mon coeur ne s’enfle pas; mes yeux ne se haussent pas. Je ne m’insinue pas dans des grandeurs et des merveilles de trop pour moi. 2 Mieux, je l’ai fait égal et silencieux, mon être, comme un nourrisson sur sa mère, comme un nourrisson sur moi, mon être.
3 Israël, souhaite IHVH-Adonaï, maintenant et en pérennité.
«Bonjour, tourmenté pour moi ne veut pas dire "cramé". Dans Lazare et le mauvais riche, le riche dit "Père Abraham, aie p...» dans L'homme, l'enfer et les tourments
«Salut,
Nulle part ici je n'affirme ou ne fais dire à Paul que les Gentils qui gardent la Torah remplacent les Juifs : j...» dans Être juif, c'est quoi ?