1 Sur les fleuves de Babèl, nous habitions là. Nous pleurions aussi, en mémorisant Siôn. 2 Sur les saules, en son sein, nous suspendions nos lyres.
3 Oui, nos geôliers nous demandaient les paroles d’un poème, nos pillards, de la joie: « Poétisez-nous un poème de Siôn ! » 4 Quoi, poétiser le poème de IHVH-Adonaï sur une glèbe étrangère ?
5 Si je t’oublie, Ieroushalaîm, que ma droite oublie ! 6 Que ma langue colle à mon palais, si je ne te mémorise pas, si je n’élève Ieroushalaîm en tête de ma joie !
7 Mémorise, IHVH-Adonaï, les Benéi Edôm, le jour de Ieroushalaîm, eux qui disaient: « Dénudez-la, dénudez-la, jusqu’en ses fondations ! » 8 Fille de Babèl, la razziée, en marche qui te paiera ta rétribution, ce dont tu nous rétribuas !
9 En marche, qui saisira et fracassera tes nourrissons contre le rocher !
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Nulle part ici je n'affirme ou ne fais dire à Paul que les Gentils qui gardent la Torah remplacent les Juifs : j...» dans Être juif, c'est quoi ?