1 Sur les fleuves de Babèl, nous habitions là. Nous pleurions aussi, en mémorisant Siôn. 2 Sur les saules, en son sein, nous suspendions nos lyres.
3 Oui, nos geôliers nous demandaient les paroles d’un poème, nos pillards, de la joie: « Poétisez-nous un poème de Siôn ! » 4 Quoi, poétiser le poème de IHVH-Adonaï sur une glèbe étrangère ?
5 Si je t’oublie, Ieroushalaîm, que ma droite oublie ! 6 Que ma langue colle à mon palais, si je ne te mémorise pas, si je n’élève Ieroushalaîm en tête de ma joie !
7 Mémorise, IHVH-Adonaï, les Benéi Edôm, le jour de Ieroushalaîm, eux qui disaient: « Dénudez-la, dénudez-la, jusqu’en ses fondations ! » 8 Fille de Babèl, la razziée, en marche qui te paiera ta rétribution, ce dont tu nous rétribuas !
9 En marche, qui saisira et fracassera tes nourrissons contre le rocher !
«Mysha
Vous citez: "...les éléments et les fondements de la terre..."
de Matthieu 5:18 ici de Chouraki: "...Amén, oui, ...» dans Être juif, c'est quoi ?
«Bonjour, tourmenté pour moi ne veut pas dire "cramé". Dans Lazare et le mauvais riche, le riche dit "Père Abraham, aie p...» dans L'homme, l'enfer et les tourments