1 Poème. Chant. Des Benéi Qorah. 2 Il est grand, IHVH-Adonaï, très louangé, en ville de notre Elohîms, au mont de son sanctuaire. 3 Beau belvédère, liesse de toute la terre, mont Siôn aux confins du septentrion, la cité du roi grandiose.
4 Elohîms, en ses châteaux, se révèle citadelle. 5 Oui, voici, les rois se liguaient, ils se déployaient ensemble. 6 Ils voient, eux-mêmes, ainsi étonnés, s’affolent et se précipitent. 7 Une secousse les saisit là, le spasme d’une parturiente. 8 Au souffle du levant, tu as brisé les navires de Tarshish.
9 Comme nous l’entendîmes, nous le vîmes, dans la ville de IHVH-Adonaï Sebaot, dans la ville de notre Elohîms: Elohîms l’affermit jusqu’en pérennité. Sèlah. 10 Nous méditons, Elohîms, ton chérissement, à l’intérieur de ton palais. 11 Tel est ton nom, Elohîms, telle est ta louange, aux confins de la terre; la justice remplit ta droite.
12 Le mont Siôn se réjouit; les filles de Iehouda exultent en tes jugements. 13 Tournez, contournez Siôn, comptez ses tours.
14 Placez votre coeur en son glacis, gravissez ses châteaux pour le raconter à l’âge dernier.
«Mysha
Vous citez: "...les éléments et les fondements de la terre..."
de Matthieu 5:18 ici de Chouraki: "...Amén, oui, ...» dans Être juif, c'est quoi ?
«Bonjour, tourmenté pour moi ne veut pas dire "cramé". Dans Lazare et le mauvais riche, le riche dit "Père Abraham, aie p...» dans L'homme, l'enfer et les tourments